1 - 30 June 2020
- festival in 8 programs -
WEIRDRANGES ( 10 films)
Between the music call and the parallels worlds, the real is jostle ...
Entre l'appel de la musique et les mondes parallèles, le réel "joue des coudes"...
Atareb / 4'39'' / Pascal Hallou et Octave Mélèze (France, 2017)
PoHm is a collective made up of Octave Mélèse and Pascal Hallou.
They invite us, in a hypnotic approach, to a journey made of subliminal modulations and flashes, in the kaleidoscope of memory.
Pohm’s sound color is the result of fortuitous coincidences, consecrating the rugged marriage of various musical currents, the B side of youtube.
PoHm est un collectif composé d’ Octave Mélèse et Pascal Hallou.
Ils nous invitent, dans une approche hypnotique, à un voyage fait de modulations et de flashs subliminaux, dans le kaléidoscope de la mémoire.
La couleur sonore de Pohm est le fruit d’heureux hasards, consacrant le mariage accidenté de courants musicaux variés, la face B de youtube.
Landstrength / 4'51'' / Jérémy Griffaud (France, 2019)
Landstrength is composed of handmade drawings and cutted up images from internet. The film shows powerful landscapes, tough trees and mountains making war. The vegetal world is now bodybuildt and ready to fight. This video plays with some stereotypes of the manly individual and social codes of indimidating masculinity.
Landstrength est une vidéo d'animation composée d'aquarelles et de dessins aux crayons de couleurs découpés et d'images de nature trouvées sur d'internet. Le film montre des paysages puissants, des arbres costauds et des montagnes qui font la guerre. Le monde végétal est maintenant bodybuildé et prêt à en découdre.
​
Displacement / 4'10" / Anders Weberg (Suéde, 2015)
With a music from Rafael Anton Irisarri.
Collect glimpses of light with camera. The material has been collected on many travels and they all express “Displacement”
​
Avec une musique de Rafael Anton Irisarri.
Assemblage d'éclairs de lumière avec la caméra. Le matériel a été collecté lors de nombreux voyages et ils expriment tous l'idée de «Déplacement»
A black man in Zimbawe / 4'15" / Roger Horn (USA, 2018)
In 1994, 62 school children in Ruwa, Zimbabwe claimed to have seen a UFO and a black man on the school playground. No teachers or school employees witnessed the sighting. Fact or creative fabrication ?
Filmed in extreme close-ups director Roger Horn lets his imagination run wild as he combines archival interviews with visuals collected throughout Southern Africa and Europe.
​
En 1994, 62 écoliers à Ruwa, au Zimbabwe, ont déclaré avoir vu un OVNI et un homme noir sur le terrain de jeu de l'école. Aucun enseignant ni employé d'école n'a été témoin de l'observation. Réalité ou hallucination collective ?
Tourné en gros plans extrêmes, le réalisateur Roger Horn laisse libre cours à son imagination en combinant des interviews d'archives avec des visuels collectés à travers l'Afrique australe et l'Europe.
TUTO : To fix a screen / 1'50" / Estelle Vétois (France, 2020)
Playing with the absurd, it is a question of showing the image being made or rather of being undone. In this manufacturing / destruction process, the soundtrack questions the place of the hand and gesture, reduced here to the frenzied rhythm of mouse clicks.
Jouant avec l’absurde, il s’agit de montrer l’image en train de se faire ou plutôt de se défaire. Dans ce processus de fabrication/destruction, la bande sonore questionne la place de la main et du geste, réduits ici au rythme frénétique des clics de souris.
Rodez / 3' / Stefano Miraglia (Italie, 2017) FILM MUET, Distribué par le Collectif Jeune Cinéma
An exploration of the cathedral of Rodez. A study on color, repetition and blinking, made up of 292 photographs.
​
Une exploration de la cathédrale de Rodez. Une étude sur la couleur, la répétition et le clignotement, composée de 292 photographies.
Espectros da terra / 4' / Daniel & Clara (Royaume-Unis & Portugal, 2018)
A film of a dying world populated by mythic creatures and spirits, our personal meditation on nature and the environment captured on Super 8 film.
​
Un film d'un monde mourant peuplé de créatures et d'esprits mythiques, notre méditation personnelle sur la nature et l'environnement capturée en film Super 8.
The Last island (at the very end of the Earth) / 6' / a-li-ce / (France, 2020)
Trailer of the Audiovisual performance "The Last Island (at the very end of the Earth)
Based on her current artistic and visual research regarding ecosystems and resilience, A-li-ce uses on stage video footages and animated organic patterns, raw sounds and her own voice to lead the audience at the very end of the Earth, at the thin borders between Science fiction, storytelling and our current realities.
​
Cette vidéo est le teaser de la performance audiovisuelle du projet "The Last Island (at the very end of the Earth)" - création 2020.
Basée sur ses recherches artistiques et visuelles actuelles concernant les écosystèmes, A-li-ce utilise sur scène des séquences vidéo et des motifs organiques animés, des sons bruts et sa propre voix pour nous mener au bout de la Terre, aux frontières ténues entre la science-fiction et nos réalités contemporaines.
Displacement / 8'44''/ Maxime Corbeil-Perron (Canada, 2019)
An expressionist composition that explores illusions, fear and wonder, through flickers of stop-motion animation, electroacoustic music and analogue video synthesis. Displacement is a work that blends traditional techniques, obsolete media technology, modern software and digital media, to create a timeless aesthetic, using the movement of light in space as a genesis.
​
Une composition expressionniste qui explore les illusions, la peur et l'émerveillement, à travers des scintillements d'animation en stop motion, de la musique électroacoustique et de la synthèse vidéo analogique. Le déplacement est une œuvre qui mélange des techniques traditionnelles, des technologies médiatiques obsolètes, des logiciels modernes et des médias numériques, pour créer une esthétique intemporelle, utilisant le mouvement de la lumière dans l'espace comme une genèse.
Or / Our, Budapest, june 18 / 3'33''/ Jacques Perconte (France, 2018)
Dipped in Klimt’s gold, the dawn of Budapest burns with a thousand fires. The birds, tiny in the firmament, spin and dance. The immensity and calm of appearances resonates with the flows of the earth. As if our entrails were taken by the force of underground lava, it reminds us of patience. The quest for light, the quest for love will begin here, in the vibrations with this letter of incandescent images, fanned by emotions.
​
Trempé dans l’or de Klimt, l'aurore à Budapest brûle de mille feux. Les oiseaux, minuscules au firmament, filent et dansent. L’immensité et le calme des apparences résonnent avec les flux de la terre. Nos entrailles, comme prises par la force des laves souterraines, nous rappellent à la patience. La quête de la lumière, la quête de l’amour commencera ici, dans les vibrations avec cette lettre d'images incandescentes, attisées par les émotions.
​